Les morts successives de l'archiduc héritier Rodolphe en janvier 1889 sans descendance mâle puis de son grand-père l'archiduc Charles-Louis, frère cadet de l'empereur, en 1896 le rapprochent du trône. Durant la guerre, l'empereur va tout faire pour épargner des vies et quelques-uns de ses officiers exposent leur désaccord avec cette politique. En 1564, Philippe II fait venir en Espagne les archiducs Rodolphe et Ernest, ses neveux, afin de leur assurer la succession de ses États, au détriment de son fils qu'il pense incapable de gouverner. Son principal objectif est de trouver les voies de la paix avec les Alliés, notamment la France et la Russie[27]. Les Alliés, notamment la France, hostile aux Habsbourg-Lorraine, lui répondent qu'ils sont opposés à toute restauration d'un membre de cette dynastie en Hongrie comme en Autriche[86] et qu'ils envisagent des mesures militaires contre le territoire hongrois en cas de succès de Charles IV[87]. L'assassinat de ce dernier en 1914 fera de Charles, jeune père de famille de 27 ans sans réelle expérience du pouvoir, l'héritier direct de son grand-oncle l'empereur François-Joseph qui a 84 ans. Affaibli par le climat océanique venteux de l'île, il contracte une bronchite aiguë le 9 mars suivant et, veillé par l'ex-impératrice Zita enceinte de son huitième enfant, meurt à l'âge de 34 ans et 7 mois le 1er avril 1922 d'une pneumonie[89], dans une relative pauvreté par rapport à son train de vie antérieur[90]. Fils de l'archiduc François-Charles et de Sophie de Bavière, il est le frère des empereurs François-Joseph Ier d'Autriche et Maximilien Ier du Mexique. Il est fêté, non pas le jour anniversaire de sa mort comme il est usuel pour les saints, mais le jour anniversaire de son mariage. Découvrez les 2 épisodes de la saison 1 de la série Marie-Thérèse d’Autriche Charles d'Autriche (Don Carlos), né à Valladolid le 8 juillet 1545 et décédé à Madrid le 24 juillet 1568, fut prince des Asturies, fils de Philippe II et de sa cousine paternelle et maternelle Marie-Manuelle de Portugal. Les circonstances aggravent ce caractère violent et vindicatif. En effet, souhaitant donner à la politique austro-hongroise une autre direction, il écarte les représentants du règne précédent, Ernst von Koerber, Burián, Conrad ou l'archiduc Frédéric[22] ; une fois les proches de son prédécesseur écartés, il choisit ses conseillers parmi les proches de son oncle François-Ferdinand, aussi bien pour la gestion de la Cistleithanie et de la Transleithanie que pour les affaires communes[23]. Lors de cette rencontre, initialement souhaitée par le souverain Habsbourg pour clarifier le détail du partage politique et économique de la Roumanie[46], celui-ci, désavoué par les archiducs autrichiens, menacé d'être déposé, doit accepter non seulement une alliance militaire, offensive et défensive, avec le Reich[45], mais aussi, dans le cadre d'un « Zollverein austro-allemand »[47], la mise en place progressive d'une union douanière germano-austro-hongroise[48], malgré les réserves de l'empereur-roi et de ses conseillers[49]. Franz), né le 3 juin 1540 à Vienne et mort le 10 juillet 1590 à Graz, est prince de la maison de Habsbourg, fils cadet de l' empereur Ferdinand Ier et de son épouse Anne Jagellon. Il veille avec une tendresse d'aîné sur son frère Maximilien, de huit ans son cadet. La comtesse Olympia von Arco-Zinneberg, épouse depuis 2019 du prince Jean-Christophe Napoléon, est la nièce de l'archiduc Lorenz. Son fils aîné, l'archiduc Otto, âgé de dix ans, devient alors le chef officiel de la maison de Habsbourg-Lorraine pour les quatre-vingts années à venir. Après les soucis que lui ont causés son fils et ses neveux, le souverain, qui compte 66 ans de règne, est soulagé de trouver en son héritier le sens du devoir, la droiture, la grandeur d'âme et la piété qui manquaient à ses prédécesseurs. Pour mener à bien son programme, il s'entoure de personnalités proches de son oncle, François-Ferdinand, partisans d'une réforme de la monarchie avec la création d'un pôle slave au sein de la monarchie danubienne[10]. Dès le mois d'avril 1917, date de la remise par Charles du mémorandum de Czernin à Guillaume II, l'empereur-roi, chef d'État d'un empire épuisé en cours de vassalisation, démontre son incapacité à peser sur son allié allemand[44]. Cette négociation se termine par un scandale énorme au printemps 1918, suite aux rodomontades du comte Ottokar Czernin, ministre des Affaires étrangères de l'Autriche-Hongrie, devant le conseil municipal de Vienne : le comte Czernin affirme devant cette assemblée que le président du Conseil français Georges Clemenceau s'est résigné à faire à l'Autriche-Hongrie des offres de négociations suite aux succès des offensives allemandes. nécessaire]. Soutenu par le pape Benoît XV[85], l'ex-empereur et roi tente à deux reprises de remonter sur le trône de Hongrie. En 1900, le mariage morganatique de son oncle, l'archiduc héritier François-Ferdinand (dont les enfants sont de fait non dynastes), puis la mort prématurée de son père l'archiduc Otto en 1906 font de lui, à l'âge de 19 ans, le second dans la ligne de succession de la double monarchie, après son oncle François-Ferdinand[1]. Le 3 avril 1919, les députés autrichiens votent la loi de Habsbourg, qui exile et bannit définitivement les membres de la maison de Habsbourg-Lorraine et confisque leurs biens[84]. CHARLES D'AUTRICHE (1887-1922) P hoto . Un collège indépendant pour offrir à votre enfant un enseignement de qualité ! Ainsi, le 27 septembre, après avoir dévoilé son souhait de transformer son empire en une fédération, Charles tente de mettre en œuvre ses réformes, mais se heurte à l'opposition hongroise, menée par Tisza, soutenu par Wekerle, président du Conseil du royaume de Budapest[60]. C'est avec le soutien du pape Benoît XV qu'il tente par deux fois de reprendre le pouvoir en Hongrie en 1921. Cette vassalisation est achevée lors de la rencontre de Spa du mois de mai 1918, sanctionnée par l'accord du 12 mai[45]. Cette situation place les militaires austro-hongrois dans une situation intenable à laquelle l'empereur tente de remédier par une négociation de plus en plus difficile avec un partenaire allemand toujours plus exigeant, portant sur des compensations de plus en plus illusoires (comme l’élection d'un Habsbourg-Lorraine sur le trône d'un royaume de Pologne totalement inféodé au Reich[42]) mais oblige le Reich à ménager son allié qui, à partir de 1917, ne songe qu'à sortir du conflit au début de l'automne de la même année[43]. Par la suite, la succession passe aux descendants du f… Il fut le dernier monarque de ces États. Il devient selon la tradition familiale officier dans l'armée austro-hongroise. Charles VI d'Autriche de Habsbourg, Roi d'Espagne 1685-1740 Maria-Josefa de Habsbourg , Princesse royale de Bohême 1687-1703 Maria-Magdalena de Habsbourg , Archiduchesse d'Autriche 1689-1743 Retiré tout d'abord, dès le 12 novembre 1918, au château d'Eckartsau, en Basse-Autriche, l'empereur Charles, en raison des pressions effectuées par le nouveau chancelier Karl Renner, conscient que les mécontents pourraient se rallier contre la personne impériale (dans un contexte marqué par la crise économique)[81], est contraint de quitter son pays et de demander asile à la Suisse où demeure la mère de l'impératrice, la duchesse douairière de Parme Antonia de Bragance. L'empereur fait également tout son possible pour éviter les opérations coûteuses en vies humaines et non nécessaires, « si l'Allemagne refusait d'entrer dans la voie de la raison, il se verrait contraint d'abandonner son alliance pour faire une paix séparée avec l', « toute participation aux affaires de l'État », cette bienveillance se manifeste par la présence du monarque à la cérémonie, ce dont il s'était abstenu pour le mariage de son héritier, The sleepwalkers : how Europe went to war in 1914, Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Alexandre Salvator de Habsbourg-Toscane**, Constantin Salvator de Habsbourg-Toscane**, Charles de Habsbourg-Lorraine (homonymie), secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, partage politique et économique de la Roumanie, dernière rencontre entre les principaux dirigeants allemands et austro-hongrois, dernière offensive de la double monarchie face à l'Italie, Marie-Thérèse de Habsbourg-Lorraine-Teschen, Tentatives de paix pendant la Première Guerre mondiale, Conférences de Spa (Première Guerre mondiale), Autriche-Hongrie dans la Première Guerre mondiale, François Charles Salvator de Habsbourg-Toscane, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Charles_Ier_(empereur_d%27Autriche)&oldid=178980111, Militaire austro-hongrois de la Première Guerre mondiale, Grand maître de l'ordre de la Toison d'or, Grand-croix de l'ordre militaire de Marie-Thérèse, Grand-croix de l'ordre militaire de Maximilien-Joseph de Bavière, Grand-croix de l'ordre militaire de Saint-Henri, Chevalier de l'ordre autrichien de la Toison d'or (XXe siècle), Personnalité inhumée dans la chapelle de Lorette du monastère de Muri, Prétendant aux trônes d’Autriche et de Hongrie, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Page pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Article contenant un appel à traduction en hongrois, Article contenant un appel à traduction en allemand, Article contenant un appel à traduction en anglais, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, Portail:Première Guerre mondiale/Articles liés, Portail:Biographie/Articles liés/Militaire, Portail:Biographie/Articles liés/Politique, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, il s'appliquera à faire admettre par son allié, l', il s'appliquera auprès de son allié, l'Empire allemand, à ce que la, la monarchie austro-hongroise doit être maintenue dans le respect du. Se targuant de l'appui de la France, Charles IV tente de duper le régent, qui se rapproche alors des commissaires Alliés en Hongrie pour connaître leur position. Il est l'héritier présomptif du trône d'Autriche-Hongrie après le décès de … Charles, Zita et leur fils Otto d'Autriche et l'empereur Charles et l'Impératrice Zita sur leurs lits de mort à Madère (pour Charles) le 1er avril 1922. Le jeune infant est de nature fragile et souffre de déformation. Peu connu, âgé de 29 ans, marié et père de quatre enfants, Charles prend les rênes du gouvernement dans un contexte politique, économique et militaire inquiétant pour la monarchie danubienne. Dès son avènement le 1er décembre 1916, le jeune empereur reçoit la visite du président du conseil hongrois, István Tisza, qui se montre partisan d'un couronnement rapide du nouveau roi en Hongrie, celui-ci devant prêter serment à la constitution de 1867, liant ainsi la politique future de Charles, partisan d'une réorganisation de la monarchie, aux intérêts du royaume de Hongrie[8]. Hormis Maximilien, mort en 1867, François-Joseph n'a pas d'autres frères. Il fut également prétendant au trône du royaume d'Espagne (1703-1714), roi de Sardaigne (1713-1720), roi de Naples (1714-1738), roi de Sicile (1720-1735), duc de … Les deux arrière-grands-mères, Jeanne de Castille et Marie d'Aragon sont sœurs. Ligue de Prière du Bienheureux Charles dAutriche pour la paix des peuples Cependant, il se montre incapable de soutenir les promoteurs de la politique qu'il souhaite voir menée dans la double monarchie, dans le conflit ou dans la recherche d'une solution pacifique[11]. De plus, appelé à succéder à François-Ferdinand, il est également intégré au cercle de ce dernier, qui se charge de lui transmettre sa vision de la double monarchie, unitaire, directement ou par l'intermédiaire de ses proches[2]. L'archiduc Charles-Christian, fils cadet de l'archiduc Charles-Louis, a épousé en 1982 la princesse Marie-Astrid de Luxembourg (fille du couple grand-ducal). Il interdit également de bombarder des villes non stratégiques[30]. Leur fils, l'archiduc Christophe, a épousé à Nancy mademoiselle Adélaïde Drapé-Frisch, dont le père est un diplomate français. De plus, Charles, héritant du personnel politique du règne précédent, opère des modifications profondes parmi les responsables chargés de la gestion de la double monarchie. Ferdinand was born on June 14 1529, in Linz, Autriche. CHARLES FRANÇOIS JOSEPH DE HABSBOURG-LORRAINE (Karl Franz Josef von Habsburg-Lothringen) (Persenbeug, 17 août 1887 - Madère, 1er avril 1922) a été, sous le nom de Charles Ier, le dernier… C'est donc le fils de Charles-Louis, François-Ferdinand, qui est désigné héritier ; le 28 juin 1914, l'archiduc héritier François-Ferdinand est as… Grâce à une généreuse décision de son père, Charles est adopté et élevé à Vienne et à Bruxelles par sa tante Marie-Christine d'Autriche et son mari Albert de Saxe-Teschen, tous deux sans enfant [note 1] et gouverneurs des Pays-Bas. Charles d'Autriche (1545-1568) Sommaire. Charles François Joseph de Habsbourg-Lorraine (en allemand Karl Franz Josef von Habsburg-Lothringen), né à Persenbeug le 17 août 1887 et mort à Funchal (Madère) le 1 avril 1922, a été, du 22 novembre 1916 au 12 novembre 1918, empereur d'Autriche sous le nom de Charles I , roi de Hongrie sous le nom de Charles IV (IV. Il n'a jamais été couronné empereur d'Autriche, ni roi de Bohême. Son acte de "renonciation" (le terme "abdication" n'ayant jamais été formulé) est signé dans le salon chinois bleu du château de Schönbrunn, à midi le 11 novembre 1918[76], le même jour que l'armistice et la fin de la Première Guerre mondiale[77]. En Cisleithanie, l'empereur se voit, durant les derniers jours d'octobre 1918, privé de la moindre parcelle d'autorité par le développement des événements, le gouvernement de la Cisleithanie apparaissant alors comme un « théâtre d'ombres », destiné à liquider l'empire d'Autriche[74]. Charles-Louis d'Autriche-Teschen, archiduc d'Autriche et duc de Teschen (en allemand : Erzherzog Karl von Österreich, Herzog von Teschen, connu aussi sous le nom de Karl von Österreich-Teschen), né le 5 septembre 1771 à Florence et mort le 30 avril 1847 à Vienne, est un militaire autrichien, fils de l' empereur du Saint-Empire Léopold II et de son épouse Marie-Louise de Bourbon, infante d'Espagne. Au début de l'année 1916, après des mois de formation militaire, il est affecté au commandement du XXe corps d'armée, devant prendre l'offensive sur le front italien, la victoire annoncée de cette offensive devant accroître le prestige de la dynastie ; devant l'urgence de la situation créée par la rupture du front austro-hongrois occasionnée par l'offensive d'été russe de 1916, il reçoit le commandement nominal de la 12e armée, chargée de contenir la poussée russe, la réalité du commandement étant assurée par des généraux allemands[4]. Née à Santa Monica, Geraldine Leigh Chaplin, quatrième enfant de Charlie Chaplin, est l'aînée des huit enfants qu'il a eus avec sa quatrième et dernière femme, Oona O'Neill. Ainsi l'une de ses premières mesures doit aboutir à l'élargissement du droit de suffrage en Hongrie, s'opposant ainsi frontalement au président du conseil du royaume de Hongrie, István Tisza, dont il obtient la démission le 23 mai 1917, au terme d'une intense lutte politique[17], mais qui mène dans les mois qui suivent une lutte sourde contre la politique menée par les présidents du conseil qui se succèdent en Hongrie[18], puisque, homme d'État énergique, il contrôle le principal parti politique représenté au parlement de Budapest, le Parti du Travail[17]. Charles Ier d’Autriche, IV de Hongrie et III de Bohème (Karl François Joseph Louis George Otto Hubert Maria), (Persenbeug, 17 août 1887 – Funchal, Madère, 1 avril 1922) fut le dernier empereur d’Autriche, le dernier roi apostolique de Hongrie et le dernier roi de Bohême. La dernière modification de cette page a été faite le 4 mai 2020 à 22:50. Le 17 octobre, cependant, tentant de se concilier les États-Unis[61], il publie un manifeste transformant l'empire d'Autriche en une fédération, alors que les dernières propositions de paix de l'empereur-roi sont définitivement écartées le 4 octobre[62]. Ainsi, la paix avec l'Ukraine est rapidement signée sous la pression insistante de l'empereur intéressé par le ravitaillement de sa population[37] ; quelques semaines plus tard, l'avancée des troupes austro-allemandes en Ukraine se fait dans un contexte de rivalités entre les deux partenaires autour des stocks de nourriture et aboutit au partage de l'Ukraine en deux zones d'occupation de taille et de poids économique inégaux[38]. Le couronnement comme roi de Hongrie a lieu à Budapest dès le 30 décembre 1916. Une relique du « bienheureux Charles » est exposée en la basilique Saint-Epvre de Nancy — où en 2012 fut célébré le mariage de son arrière-petit-fils, l'archiduc Christophe — une autre à la basilique Notre-Dame de Tongre, non loin du château de Belœil, en Belgique. Le 24 janvier 1917, les deux princes sont à Paris où ils ne rencontrent que Jules Cambon, secrétaire général du ministère des Affaires étrangères. Lâché par le commandement militaire et les autorités civiles durant les premiers jours de novembre, Charles signe sa renonciation au trône (plus précisément "sa renonciation à participer au gouvernement autrichien") dans une déclaration rédigée où il reconnaît au peuple autrichien le droit à disposer de lui-même au sein d'un État autrichien libre[75]. Déçu, Charles doit retourner en Suisse le 5 avril 1921, mais n'entend pas pour autant renoncer[87]. Charles a seulement quatre arrière-grands-parents[1] et ses parents ont le même coefficient de consanguinité (1 / 8) que s'ils étaient demi-frères. François-Charles Joseph, archiduc d'Autriche (Vienne, 7 décembre 1802 Vienne, 8 mars 1878) est le troisième fils de l'empereur François Ier d'Autriche et de Marie-Thérèse de Bourbon, et le père de l'empereur François-Joseph. Charles-Louis de Habsbourg-Lorraine, né le 30 juillet 1833 au château de Schönbrunn où il est mort le 19 mai 1896, est un archiduc d'Autriche, membre de la maison de Habsbourg-Lorraine. Beaucoup de ses afflictions physiques et psychologiques semblent découler de la consanguinité entre la maison de Habsbourg et les maisons royales d'Espagne et du Portugal. Philippine was born in 1527, in Augsbourg, Bavière, Allemagne. Charles had 7 siblings: Anna Eléonore d'AUTRICHE, Maria d'AUTRICHE and 5 other siblings. On ne peut dire que ces propositions répondent aux attentes du gouvernement français car elles ne correspondent en fait qu'à une « vue » du prince Sixte de Bourbon-Parme. Philippe IV d'Espagne, Anne d'Autriche modifier - modifier le code - modifier Wikidata Charles d'Autriche, infant d'Espagne (né le 15 septembre 1607 à Madrid et y décédé le 30 juillet 1632) est l'un des fils de Philippe III roi d' Espagne et de Marguerite d'Autriche-Styrie. Au cours des négociations lancées à la suite de la Révolution d'Octobre, avec la Russie, l'Ukraine et la Roumanie, les diplomates envoyés par l'empereur Charles tentent d'appliquer les consignes de ce dernier, parfois contre les intérêts allemands. Cantonné avec son unité à Prague, il y suit les cours d'enseignants de l'université, tandis qu'il noue de solides amitiés avec des nobles tchèques proches de François-Ferdinand, son oncle[2]. L'empereur et sa femme ont eu huit enfants : Parmi les nombreux petits-enfants de Charles et Zita se trouvent l'archiduc Lorenz, fils aîné de l'archiduc Robert, qui a épousé en 1984 la princesse Astrid de Belgique et a été titré en 1995 prince de Belgique par son beau-père, le roi Albert II (ses cinq enfants font partie de l'ordre de succession au trône belge). Petit-fils de l'empereur François Ier d'Autriche, il est le troisième fils de l'archiduc François-Charles et de Sophie de Bavière, et le frère cadet de l'empereur. Jeune adulte, il commence à montrer des signes d'instabilité mentale. Il bénéficie de l'affection sincère du vieil empereur François-Joseph, accablé par les deuils. Lors des rencontres avec les Allemands, Charles se voit systématiquement malmené par ses partenaires qui lui imposent, malgré le respect formel de l'égalité entre alliés, une vassalisation de fait, aussi bien politique qu'économique[48], ou qui mènent leur politique sans en informer le principal de leurs alliés. Il devient brutalement l'héritier du trône le 28 juin 1914 après l'assassinat de son oncle l'archiduc François-Ferdinand à Sarajevo. Il est le fils ainé de l’archiduc Otto François d’Autriche et de la princesse Marie- Josèphe de Saxe. Ainsi, il se désintéresse rapidement, dans un premier temps, à la dévolution de la Pologne à la double monarchie ou à la recréation d'un royaume de Pologne au profit d'un prince de la maison de Habsbourg-Lorraine. Charles IX, né le 27 juin 1550 au château royal de Saint-Germain-en-Laye et mort le 30 mai 1574 au château de Vincennes, est roi de France de 1560 à 1574.. Il est le quatrième roi de la famille des Valois-Angoulême.Fils d' Henri II et de Catherine de Médicis, il succède à son frère François II à l'âge de 10 ans et meurt sans enfant mâle légitime à près de 24 ans. Le transfert à Baden poursuit un double but : tout d'abord, le nouvel empereur souhaite imposer aux officiers qui composent le grand état-major de la double monarchie un changement de style de vie, la vie à Teschen apparaissant éloignée des rigueurs de la guerre ; ensuite, Baden, situé à une vingtaine de kilomètres de Vienne, soustrait partiellement l'AOK de la tutelle de l'OHL, situé alors à Pless, en Silésie[25]. Le 9 novembre 1918, l'empereur allemand Guillaume II, depuis les Pays-Bas où il s'est réfugié, signe son abdication. Dans un second temps, il modifie son point de vue, mais ce changement ne suscite aucune réaction du Reich, ayant alors, au printemps 1918, écarté cette option[34]. 15 janvier 1556 – 24 juillet 1568(12 ans, 6 mois et 9 jours). Le 21 de chaque mois, entre 19:00 et 19:30 heure locale de chaque pays, soyons unis en prière à travers le monde pour la paix des peuples par l’intercession du Bienheureux Charles d’Autriche.. Depuis votre smartphone : Charles Ier a été béatifié à Rome le 3 octobre 2004 par le pape Jean-Paul II, tant pour ses tentatives de paix en 1917 que pour son soutien apporté à la médiation du pape Benoît XV. Le 13 novembre, alors qu'il souhaitait conserver la couronne de Hongrie, il renonce à « toute participation aux affaires de l'État »[78]. À la fin du mois de décembre 1917, une réforme du droit de suffrage est proposée, faisant passer le corps électoral à 3,8 millions de votants, soit plus du doublement du nombre d'électeurs, mais qui renforce également la prépondérance germano-hongroise ; elle est cependant repoussée par les proches de Tisza, qui contrôlent la majorité des sièges de la Chambre des représentants de Budapest[19]. Charles d'Autriche (Don Carlos), né à Valladolid le 8 juillet 1545 et décédé à Madrid le 24 juillet 1568, fut prince des Asturies, fils de Philippe II et de sa cousine paternelle et maternelle Marie-Manuelle de Portugal. La poursuite de la guerre mine la cohésion intérieure de son empire et le Reich renforce son emprise sur la politique et l'armée de la double monarchie[7]. Charles procède à une réforme de la justice militaire, sans avoir consulté ses généraux et contre l'avis des responsables militaires allemands[26]. Le couple a eu cinq enfants. Cette déclaration met l'empereur Charles dans une position intenable face à son allié allemand qui l'accuse de trahison, alors que Charles avait pris la précaution d'informer l'empereur Guillaume II qu'il avait engagé des pourparlers de paix, sans toutefois en révéler le contenu exact. Bernard Michel, Nicole Pietri, Marie-Pierre Ray, Hans Karl Zessner-Spitzenberg, The Emperor Charles I of Austria, a great Christian monarch, K. Rasinger, 1963. Remis aux Britanniques par Miklós Horthy, Charles et sa famille, sur décision de la conférence des ambassadeurs, sont assignés à domicile dans le manoir de vacances Quinta do Monte du banquier portugais Rocha Machado, à Funchal sur l'île de Madère où le banquier et le gouvernement portugais acceptent de les accueillir[88]. Son fils, l’archiduc héritier Rodolphe décède en 1889 dans la tragédie de Mayerling sans descendance mâle avec son épouse, la princesse Stéphanie de Belgique. Ainsi, Charles ordonne de ne pas affecter aux postes dangereux les personnes dont la famille compte déjà deux morts ou les hommes qui sont pères de familles de plus de six enfants. Elle ne le fête pas le 1er avril, « jour de son entrée au Ciel », mais le 21 octobre, jour de son mariage. ROME, Lundi 21 septembre 2008 – En mémoire du bienheureux Charles 1er d’Autriche, « empereur de la paix », et époux de l’Impératrice Zita, une messe solennelle sera célébrée le 12 octobre (à 9 h 15) à Paris, à Saint Louis des Invalides.Elle sera suivie d’un colloque sur cette grande figure de la paix en Europe. De même, la paix avec la Roumanie est négociée dans un premier temps à la suite d'une initiative de Charles, qui met le pays sous tutelle économique austro-allemande, mais laisse au royaume des capacités militaires importantes[38], et surtout aboutit à placer la Roumanie sous contrôle économique allemand, en dépit de la demande expresse de Charles de réduire l'occupation du pays à une durée minimale[39] comme de permettre aux Roumains de conserver pour le royaume de Bucarest une certaine indépendance économique[40]. Bienheureux Charles d'Autriche. Il est enterré dans l'église Nossa Senhora do Monte sur les hauteurs de Funchal. Au fil de l'année 1917, Charles, souhaitant sauver son empire[32], tente de prendre ses distances à l'égard de l'Empire allemand, non seulement en menant des négociations de paix informelles avec les Alliés, mais aussi en mettant en place une politique autonome dans le conflit, s'opposant notamment à un certain nombre de mesures décidées par son allié. Il a seulement six arrière-arrière-grands-parents, au lieu des 16 maximum[1], sa grand-mère maternelle et son grand-père paternel sont frère et sœur, son grand-père maternel et sa grand-mère paternelle sont aussi frère et sœur.