Mais des invraisemblances excessives ternissent la réussite de l'efficacité d'un film qui s'enlise sur la fin. Comme cette caverne de foin, tout à la fois antre morbide et cabane enveloppante dans laquelle l'un des personnages trouve refuge pour se blottir auprès du cadavre comme un enfant s'endort dans les bras de sa mère. Le scénario est donc diablement habile, même si les débuts nous plongent dans un brouillard, ou plutôt une tempête de neige dans horizon à la clé ! Quel tour de force de nous balader ainsi de personnage en personnage, de petites histoires en petites histoires, en réservant en prime un chapitre personnel à chacun. ©AlloCiné, Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,34€/minute). Plus cette histoire avance et plus elle parait dingue. En plus de cela, le monstre gigantesque commence à attaquer la station Roebuck en guise de représaill… Un film de Dominik Moll. Ce polar original, très bien ficelé et agencé de par sa démarche narrative, finit irrémédiablement par intriguer, puis complètement séduire le spectateur qui n’a pas fini d’être surpris jusqu’à la fin, tant le hasard est toujours au dessus de tout en n’ayant de surcroît pas de limite ! Lire ses 3 132 critiques, Suivre son activité A woman disappeared. Les deux dernières scènes concluent magistralement le tout, quand bien même elles n'étaient pas strictement nécessairement à l'achèvement du puzzle. On demande juste à savoir comment. Il y a un sujet euh, qui se trouve n'a jamais été abordé euh, au cinéma, en tout cas moi j'ai jamais vu. Si on les interrogeait, les bestiaux qui ont tout vu et tout entendu pourraient raconter des histoires merveilleuses et tristes, rétablir un puzzle fabriqué à partir de coïncidences impossibles. "Seules les Bêtes" nous offre deux bonnes raisons d'aller le voir, qui le distinguent du tout venant des sorties hebdomadaires. Découvrez la bande annonce SEULES LES BÊTESRésumé : Une femme disparaît. Les rues étaient désertes, seules les voitures qui déboulaient par à-coups dans l'allée brisaient le silence en un vacarme assourdissant. C’est la trouvaille la plus étonnante de cette histoire et elle n’a rien d’incongru. Pas de twist renversant sinon une construction méticuleuse d'un récit polyphonique. Pas de manoir anglais sinon les paysages désertiques de la Lozère. On est tout heureux de le retrouver dans ce polar "glaçant" au sens propre et au sens figuré. Casting à la hauteur, musique et photo impeccables. – on perçoit très vite les grands traits que l’intrigue entend tracer. Un scénario palpitant et un suspense bien dosé. Nul besoin ici d’un fin limier du genre Hercule Poirot ou Miss Marple, c’est le scénario lui-même qui, très habilement imaginé, nous conduit vers la solution de l’énigme. » à la bouche. Dans «Seules les bêtes», Damien Bonnard interprète le rôle de Joseph, éleveur ermite aux mains et à l’âme calleuses. A Joseph, éleveur ermite aux mains et à l'âme calleuses, Alice se donne tout entière. On voit dans un premier temps les faits du point de vue de chaque protagoniste, et plus l'intrigue avance plus on comprend, tout s'entremêle, le puzzle prend forme. Une femme a disparu. Les cadres sont purs. Synopsis : Une femme disparaît. Certains éléments s’avèrent d’ailleurs trompeurs ou, en tout cas, dans un premier temps, ils sont mal interprétés, parce qu’ils ne sont d’abord perçus que du point de vue d’un des personnages. Mais aussi « Seules les bêtes » va être un film intrigant. Ah ça… Dominik Moll. Un thriller psychologique inquiétant qui semble partir dans tous les sens, mais qui, en réalité, se passe dans une sorte de vase clos dans lequel tous les personnages s’imbriquent les uns avec les autres. Une image et beaucoup de choses sont déjà dites. (Photo Haut et Court Distribution). Joseph Bonnefille (Damien Bonnard) traîne son âme en peine dans une ferme très isolée. Lire ses 18 critiques, Suivre son activité Préférences cookies | Il se trouve que, pour ma part, je me trouve un peu entre les deux. Seremi Nureni Bana, Germain Brechot, Par les membres ayant fait le plus de critiques. 555 abonnés Très intelligemment et avec une grande maîtrise, Dominik Moll détourne les codes du polar, pour raconter une histoire de passions extrêmes, de solitudes, de recherche éperdue. Je le conseille. D'abord par charité, pour le réchauffer, puis par amour. Seules Les Bêtes est le nouveau long métrage du réalisateur Dominik Moll. Autant, récemment, je trouvais désuet le film de Rian Johnson À couteaux tirés, avec son intrigue à la Agatha Christie, autant j’ai été séduit par Seules les bêtes, film dont l’action se fonde également sur la résolution d’un mystère, mais au moyen d’une écriture autrement plus inventive et plus ancrée dans le monde d’aujourd’hui. Qui est responsable de sa mort ? Dune, James Bond 25, Cruella, Suivre son activité Données Personnelles | Pour moi, c’était trop gros et pas forcément nécessaire. Ce n’est qu’à la fin du film que se résolvent toutes les énigmes. La sensibilité de la mise en scène, la densité du jeu des acteurs (tous incroyablement bons), la qualité du scénario font de Seules les bêtes un divertissement de haute tenue. Suspens parfaitement entretenu, et surprises jusqu'à la dernière image... A ne pas louper ! C'est très simple et rapide et vous pourrez alors accéer à toutes les … Lire sa critique, Suivre son activité Titre VO Présenté dans sa bande annonce et son synopsis comme un thriller, puis durant sa première partie comme un film social, Seules les bêtes n’est au final rien de tout ça, ou tout ça à la fois mais ne s’y résume pas. De sacrés individus bourrus, taiseux et plutôt inquiétants dans ce contexte glacé ! Laure Calamy (Seules les bêtes, Canal+) : ses rires et ses gaffes ont ensoleillé le petit et le grand écran en 2020 Couvre-feu : les Pays-Bas se préparent à une nouvelle nuit d'émeutes Publicité | De nombreux films arrivent en cette fin d’année et le 4 décembre on espère fortement que le public sera au rendez-vous de Seules Les bêtes adapté du roman du même nom. 120 abonnés Et quand c'est particulièrement bien fait comme ici, ce n'est que du plaisir. Rien ne semble lié. Tous sont donc liés, pour une part plus ou moins grande, à la disparition de cette dernière. Après Harry, un ami qui vous veut du bien, avec à la clé un César du meilleur réalisateur plus que mérité, il revient avec, à ses cotés, le genialissime Denis Menochet qu'on présente plus. Une chèvre sur un vélo en plein milieu de l’Afrique… Et ce petit retour sur image avec cette mise au point focalisée, est un procédé qui devient petit à petit extrêmement efficace. Quand Dominik Moll nous perdait dans sa série Eden en opérant des sauts entre l'urgence des réfugiés et une intrigue administrative bruxelloise, Seules les bêtes trouve dans cette rupture une forme de tremplin poétique. Alors on les écoute et on les rassure. Et le film devient passionnant, jusqu'à un final très abouti. 13 abonnés Cette narration à la "Rashomon", savante et toujours lisible, faite de flashbacks entrelacés, est un vrai régal pour l'intelligence même si le procédé devient parfois un peu trop systématique - chaque zone d'ombre, chaque mystère trouvera un peu plus tard son explication. 218 abonnés Peu de réalisateurs français peuvent aujourd’hui revendiquer un style inimitable et reconnaissable entre tous. Pour y parvenir, le cinéaste se focalise, tour à tour, sur plusieurs personnages, tous liés, d’une manière ou d’une autre, à la disparition d’Evelyne Ducat. "Seules les bêtes" est un puzzle dont chaque pièce s'agence parfaitement avec les précédentes jusqu'à révéler les motifs tragicomiques de la disparition d'Evelyn Lucat. Lire ses 701 critiques, Suivre son activité Après une introduction à Abidjan façon prestidigitateur, pas vu, pas compris, sitôt oublié, le thriller de Dominik Moll installe son plateau sur le causse Méjean. Hautement recommandé. Seules Les Bêtes est un film réalisé par Dominik Moll avec Denis Ménochet, Laure Calamy. Korinna Moon Bloodgood, est née le 20 septembre 1975 à Anaheim, en Californie. On est plus proche de "Fargo" que de "Dix petits nègres". Progressivement, on comprends le lien qui les unis tous. Le roman du vent glacial qui saisit les hommes et les femmes du plateau, qui vient griffer ce territoire oublié, perdu, saisi par le givre. Sur le final je me suis demandé si tout cela n’était-il pas un peu trop… Si ça n’allait pas un peu trop loin. L'ambiance pull camionneur et vieille faïence est remplacée par les tee-shirts élimés et la sape clinquante de Yopougon. C’est ce qui en fera d’ailleurs sûrement décrocher quelques-uns, rompant leur suspension consentie d’incrédulité. L'autre ouvre le récit sur un gouffre : celui de l'intolérable solitude qu'on est prêt à tout pour combattre. Pas de stars hollywoodiennes, mais quelques uns des acteurs les plus solides de la nouvelle génération française (à commencer par Denis Ménochet qui aurait, selon moi, plus mérité pour "Jusqu'à la garde" l'Oscar que Léa Drucker). Une mise en scène et un scénario solides et maitrisés, pour des personnages parfaitement dessinés. Ou même Armand (Guy Roger N'Drin), un jeune ivoirien qui se fait passer pour la pulpeuse Amandine pour arnaquer Michel ? C'est un petit bijou d'écriture! Dominik Moll nous revient avec Seules les bêtes, un long métrage à multiples facettes qui se plaît à emmener le spectateur sur des sentiers imprévisibles en le baladant du début à la fin. Au contraire, elle est totalement plausible. Un désert balayé par le vent et la neige surplombé par le gris sans fin d'un ciel que rien ne vient interrompre. Renvoyée dans les limbes, cette histoire de disparue a été remplacée par des histoires de cœurs lourds. Mais très rapidement le spectateur comprend qu'il ne s'agit pas du tout de cela. Tip top... je recommande Dans «Seules les bêtes», Damien Bonnard interprète le rôle de Joseph, éleveur ermite aux mains et à l’âme calleuses. Il ne reste plus qu’à attraper le pigeon, l’homme européen en mal d’affection qui ne demande qu’à fantasmer sur la charmante femme qui se montre à lui sur son écran d’ordinateur et qui, bien sûr, ne tarde pas à lui demander les aides pécuniaires dont elle prétend avoir besoin. Politique de cookies | Seules les bêtes - la critique du film. Un thriller d'une efficacité fascinante. D'abord un scénario vraiment surprenant, qui, sans aucun twist artificiel, nous emmène à mi-parcours très loin de ce que nous pensions être en train de regarder. Et une nouvelle preuve que Dominik Moll est un réalisateur qui compte dans le cinéma français. Une parenthèse ensoleillée qui ne dure pas, le couple étant rappelé à son tour par les causses, pôle magnétique de Seules les bêtes. https://www.rue89strasbourg.com/seules-betes-film-puzzle-164722 Les éleveurs sont remplacés par les «brouteurs», bandits de grand chemin d'Internet. Seules les bêtes est un thriller dramatique franco-allemand réalisé par Dominik Moll et sorti en 2019.Il s’agit de l’adaptation du roman noir éponyme de l’écrivain Colin Niel, publié en 2017 aux éditions du Rouergue, et récompensé par de nombreux prix littéraires. Autant, récemment, je trouvais désuet le film de Rian Johnson À couteaux tirés, avec son intrigue à la Agatha Christie, autant j’ai été séduit par Seules les bêtes, film dont l’action se fonde également sur la résolution d’un mystère, mais au moyen d’une écriture autrement plus inventive et plus ancrée dans le monde d’aujourd’hui. Lire ses 32 critiques, Suivre son activité Excellent film à tiroirs, où le destin de chacun dépend tellement des petits actes des autres. Seules les bêtes, produit et distribué par Haut et Court, réunit Laure Calamy, Denis Ménochet, Valeria Bruni Tedeschi et Damien Bonnard.Il s'agit de l'adaptation du roman de Colin Niel, qui vient de paraître en poche (Babel), lauréat des Prix polar en séries et Prix Landerneau polar. Seules les bêtes Awards and Nominations. Lire ses 1 296 critiques, Suivre son activité Film à "tiroirs" bien mené Seuls est une série de bande dessinée jeunesse d’aventure fantastique franco-belge écrite par Fabien Vehlmann et dessinée par Bruno Gazzotti pour le magazine Spirou ; elle est centrée sur les aventures de cinq enfants qui doivent se débrouiller seuls dans un mystérieux monde sans adultes.. Elle a été publiée en albums cartonnés aux éditions Dupuis à partir de janvier 2006. Une femme, Evelyne Ducat, a disparu, on retrouve sa voiture abandonnée, en pleine campagne, au départ d'un sentier de randonnée. Seules les bêtes book. Pour le coup on a affaire ici à un vrai film de cinéma et non pas seulement à une simple mise en image d’un roman à succès. Ce fut notamment mon cas quand Nicole débarque avec son Jules dans les Causses tandis que Michel retrouve Armand / Amandine en Côte d’Ivoire. Tu ne me déçois pas. James Gunn, avec Et même s’il faut du temps pour vraiment comprendre tous les enjeux sont connectés entre eux – notamment pour vraiment saisir comment une disparition dans les Causses peut se retrouver liée à une chèvre attachée dans le dos d’un cycliste ivoirien ! Une réussite. Passé le choc de l'éloignement, l'exotisme ivoirien, cette parenthèse se révèle en réalité un trait d'union qui opère un rapprochement par le biais d'une fragilité commune, dans l'arbitraire du hasard aussi. Tous ces gens ont au fond quelque-chose de pathétique et de tendre à la fois. Un très beau casting où chacun est aussi crédible que convaincant. Fanny Liatard, Jérémy Trouilh, Avec Ex. Tandis que la police s'intéresse aux faits et gestes de chacun, Joseph tient lieu de coupable idéal, condamné par une carcasse inquiétante et cette façon d'apparaître dans le cadre sans qu'on l'ait invité. Un film original et prenant. Mais ce film a beau aller au-delà de son intrigue, il n’y reste pas moins attaché et dépendant. C'est ce scénario au cordeau qui retient l'attention et force l'intelligence. Lire ses 122 critiques, de Jamais été déçu par Dominik Moll depuis Harry, un ami qui vous veut du bien. Dominik Moll, cinéaste trop rare, nous offre ici un thriller d'une redoutable efficacité, bâti sur une utilisation simple mais efficace de l'effet Rashomon : les mêmes scènes sont vues plusieurs fois sous des angles différents, offrant à chaque fois un complément d'information sur l'intrigue. Le tournage du nouveau film de Dominik Moll s'achève cette fin de semaine. A la manière canonique d'un Rashomon, Seules les bêtes s'écrit autour de personnages-chapitres, dans une succession de regards biaisés et d'informations parcellaires. Que le grand cric me croque si je n'ai pas réussi à vous donner envie d'aller voir ce film. Les intentions nettes. Et à raison. 34 abonnés : Lire ses 2 171 critiques, Suivre son activité Lire ses 1 446 critiques, Suivre son activité Joseph (Damien Bonnard), un paysan bourru reclus dans sa ferme avec son chien depuis la mort de sa mère ? Un film de. Tu vois bien qu'elle a pas les épaules. Très bien joué et réalisé. Beaux paysages , belles ambiances bien filmés. (Photo Haut et Court Distribution) «Vous baisez ?», «vous l'aimez ?» Voilà les questions lancées l'air de rien par de vieux fouineurs autour desquelles semble se nouer un whodunit classique, percé d'images belles et sinistres. On progresse ainsi dans les arcanes d'une histoire tortueuse, marquée par d'incroyables coïncidences, mais qui présente l'immense intérêt de décrire avec une grande acuité deux milieux très différents et rarement montrés au cinéma : les étendues désolées du causse Méjean et le monde des brouteurs d'Abidjan (si vous ne savez pas ce que c'est, alors allez voir le film). Il faut souhaiter que Seules les bêtes aura du succès, pour que Dominnik Moll puise continuer à nous offrir de tels films, malheureusement rares dans le cinéma français. D'humeur massacrante, je savais que je n'allais rien apprendre, même en tentant désespérément de me concentrer pendant les cours. Bons acteurs bon scénario bon suspens Tandis que dans ce monde sous cloche, on regarde s'agiter ces corps en quête d'un peu de chaleur pour les réchauffer de la rudesse hivernale, le film explose. Le 6 février 2021. C'est enfin la danse d'un pigeon et de petits poissons qui rêvent de devenir gros. Sans oublier que Dominik Moll nous concocte dans ses pistes et explications, quelques scènes où des dialogues écrits par écran interposé, dégagent un humour particulier, rien que par les réactions des auteurs, ce qui va produire de sacrées étincelles, mais on n’en dira pas plus évidemment ! Ici ce polar entre le froid glacial des Causses et le soleil accablant d’Abidjan est sacrément au point côté intrigue ! C’est donc vers l’éclaircissement du mystère de cette femme disparue que nous mène l’intrigue savamment écrite du film. 7 abonnés C'est prodigieux. Le début paraît poussif et convenu; on craint fort de s'être laissé embarquer dans un téléfilm style "meurtre dans le massif des Causses". 2 VIDEOS | 15 IMAGES. Wow très fort ! Au bout d’un moment, l’abondance de coïncidences et de heureux hasards me rappelaient trop le caractère artificiel de l’œuvre. Revue de presse | Qui sommes-nous | Price comprend la gravité de sa situation et sait qu’il est impératif qu’au moins quelqu’un survive à cette expédition et remonte à la surface. Lire ses 247 critiques, Suivre son activité Un retour en arrière complexifie le puzzle en faisant de la morte une vivante, en lui donnant une voix étouffée, des yeux clairs et un corps avide d'explorer celui de vingt ans plus jeune d'une serveuse de passage. Comment un Africain peut-il avoir un rôle à jouer, et un rôle qui n’a rien de mineur, dans la disparition d’une femme sur le causse ? Lire ses 24 critiques, Suivre son activité Mais il reste encore un personnage, prénommé Armand (Guy Roger N’drin), qui, lui, réside bien loin du Rouergue, en Côte d’Ivoire, à Abidjan. Lire ses 2 362 critiques, Suivre son activité Mais si absurde, au fond, ce film l’est bien, il n’en demeure pas moins intelligible et même remarquablement construit. Alséni Bathily, Lyna Khoudri, Jamil McCraven, Avec 466 abonnés Le même récit vu par plusieurs personnages n'est pas nouveau au cinéma, mais j'aime bien cette façon de raconter une histoire. 1 abonné Cela part comme un polar classique mais s’avère très vite beaucoup plus fort et intéressant . Lire ses 1 326 critiques, Suivre son activité Les toujours excellents Denis Ménochet, Laure Calamy, Valéria Bruni-Tedeschi, l'incontournable du moment Damien Bonnard et la belle révélation Nadia Tereszkiewicz, aident sans problème à nous faire passer un excellent moment.